Vivre à la campagne, une nouvelle revue pou les néo-ruraux.

Aujourd'hui, je cherchais une revue d'informatique sur Windows 7 (je suis trop néophyte en la matière) dans un kiosque à journaux et en feuilletant d'autres revues, j'ai aperçu celle-ci qui se destine à informer les non-agriculteurs dans leur expérience à la campagne. Cette revue couvre un éventail large de sujets bien traités. À découvrir.

le lien sur internet:

http://www.vivrealacampagne.ca/

le lien vers facebook:

https://www.facebook.com/pages/Vivre-a-la-campagne/369358334072

as tu acheter la revue tu pourrais nous faire tes commentaires

J'ai la revue devant moi. En couverture une photo d'une balançoire et d'un pneu attachés après une branche d'arbre, d'un grand terrain gazonné et d'une partie d'une grande maison de campagne.

En fouillant un peu, j'ai retrouvé la couverture de ce premier numéro de Vivre à la campagne

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Cette revue sera publiée 4 fois par année. C'est possiblement une bonne chose vu sa facture soignée. Les articles sont suffisamment étoffés et le choix des sujets vont dans le sens des préoccupations de gens qui en sont à leurs premières armes en milieu rural. Je note aussi le choix des photos très collées au contenu des sujets et lesquelles captent l'oeil par la beauté toute naturelle de la réalité campagnarde qu'elles représentent.

Les sujets traités dans ce numéro sont les suivants:

Dans L'éditorial de Loïc Hamon, Prendre la clé des champs.

Dans la section les coups de coeur de Chantal (Fontaine), Vivre à la campagne.

Dans la section s'installer, Les Cormier-Potvin de DUNHAM. Une famille qui réalise ses rêves.

Dans la section dossier, L'arbre qui cache la forêt. Comprendre la nouvelle ruralité. Le retour à la campagne, Qui sont-ils? Que font-ils? Qu'est-ce qui motive leur choix? Comment s'explique ce phénomène?

Dans la section élever, L'achat d'un cheval de randonnée. Dix questions à se poser.

Dans la section entreprendre, Internet haute vitesse, ça ne change pas le monde sauf que...

Dans la section découvrir, Magasin général, J.L. Flanagan (Knowlton), Edwards (West Brome), Laganière (Sainte-Anne-de-la-Pérade), Wright (Fulford), Le Brun (Maskinongé).

Dans la section s'équiper, Comment choisir son premier tracteur.

Dans la section découvrir, L'Estrie en photo de Stéphane Lemire, photographe.

Dans la section chronique du terroir, Le terroir apprêté à la façon de l'Étrier (Restaurant L'Étrier, Bromont, propriétaire: Mariane Furois et Dominic Labonté).

Dans la section chronique jardinage (avec Albert Mondor), La préparation du sol d'un potager.

Dans la section produire, De la ville à la campagne à la ville, les paniers de fruits et légumes bio de Francis Madore de St-Chrysostome.

Dans la section aménager, Comment acheter un boisé.

Dans la section préserver, Des travaux qui transforment, La maison de 125 ans de Jean-Marie et Line Thériault située à Stanstead.

Dans la section cohabiter, Les travaux des champs, mars et avril.


Bonne lecture s'il y a lieu, Pépé Lepépé (pepelepepe).

Je parlais justement avec l'une de mes voisines de ce qui l'avait motivée à venir s'établir à la campagne. Elle m'a répondu qu'elle avait rencontré un genre d'orienteur dans le domaine (peut-être qu'elle parlait de son psychologue sans le nommer) et qu'elle devait passer un simple test pour savoir si elle possède assez d'intérêts pour bien faire son acclimatation avec un milieu passablement différent du centre-ville de Montréal.

Elle n'avait qu'à répondre à une simple question. Était-elle capable d'identifier 5 plantes qu'elle pouvait apercevoir dans les champs des agriculteurs. La question semble facile, mais bien des citadins sont absolument incapables d'y répondre. Selon elle, ces gens ne sont pas faits pour la campagne. Ils n'ont pas développer assez d'intérêts de base, ce qui ne les poussaient pas à s'informer.

Il faudrait que je pose la question à d'autres de mes voisins ou voisines nouvellement arrivés à la campagne, question de connaître lesquels remballeront leurs affaires et repartiront vers la ville assez rapidement. Mettons que j'ai quelques doutes que cette méthode donne des résultats probants.

hey cest vraiment interessent ca ! merci !

J'espère que le maïs et le soya font partie des plantes qu'elle a du identifier! Pour éviter de mêler les champs comme ton employé!!!

C'est à ma voisine éleveure bio de cannes et d'oies à qui je parlais. C'est immanquable, à chaque fois que je vais voir si les castors se sont réinstallés prés de mon ponceau, elle et son chum sont sur le perron et m'invite à une jazette. Donc on a testé nos connaissances dans les plantes et les arbres de la campagne. À un arbre qu'elle m'a montré, je n'ai pas pû l'identifier comme un érable de Giguère, mais je l'ai pas confonfu n'ont plus avec un frêne comme son chum. Puis elle nous a sorti deux livres, l'un qui identifiais les arbres, et l'autre qui traitait plus précisément des plantes. Alors j'ai compris qu'elle doit pas avoir eu trop de difficultés à répondre à la question des 5 plantes.

Pour la descendance indienne de sa famille, c'était pas l'un de ses parents, mais bien l'un de ses grands-parents, sa grand-mère qui était amérindienne. Elle travaillait comme représentante de produits d'une firme importante de Montréal et y demeurait pour une question de proximité.

Habituellement, un nouvel arrivant qui s'installe à la campagne et y établit une ferme d'élevage et/ou de culture va demeurer en opération environ 5 ans avant d'arrêter. Dans son cas, elle a dépassée les 5 ans depuis maintenant 2 ou 3 ans et continue malgré les difficultés à garder en production sa petite ferme. Chapeau. Elle a gagné ses épaulettes.

C'est vrai que la botanique est vraiment intéressante! Je ne m'y débrouille pas mal (restant de mon travail comme naturaliste et tech en bio) mais, ca ne suffirait certainement pas a faire de moi un bon agriculteur!!! Je suis loin d'avoir ce que ca prend, c'est pour ca que je ne suis pas agriculteur.

Un ceréaliculteur a beau se promener dans son champ avec son petit livre des plantes autochtones (mauvaises herbes) avec photos couleurs, il lui arrive de se tromper. Souvent il a besoin de vérifier son hypothèse auprès de spécialistes en la matière. Sinon il pourrait avoir la surprise de ne pas avoir utiliser la bonne stratégie d'intervention pour éradiquer ou du moins diminuer significativement la présence de cette plante indésirable. "Du temps, du temps, donnez-moi du temps. Et il est trop tard pour cette année, celle là on l'a échappée. Une tonne de moins de rendement à l'hectare dans ce champ pour cette année. Ça aurait pû être pire." De quoi tout faire pour ne pas en rater une.

Je ne parlais pas de l'identification des plantes pepe! Je parlais de tout le restant! Je suis a même de faire la différence entre plusieurs plantes sauvages ou introduites mais je n'ai pas toutes les qualités que ca prend pour faire un bon producteur agricole! En commencant par la patience et le gout de le faire!!

Dans la revue Vivre à la campagne, il y a un article sur une famille s'installant à la campagne. Au début, le dépaysement est emballant et même excitant. Je serais curieux de connaître leurs opinions sur leur installation à la campagne au bout de 5 ans et, s'ils sont encore en milieu rural, comment ils évaluent leur situation au bout de 10 ans. Normalement, les perceptions se nuancent avec le temps.